"Que vous reste-t-il donc?" OdG, EDT1. Faites l'analyse de l'interrogative - Interrogative directe, partielle, au langage soutenu . Question rhétorique qui sous-entend qu'il ne reste rien aux femmes (la phrase qui précède est "votre empire est détruit"), "Le puissant empire de la nature n'est plus environné de préjugés, de fanatisme, de superstition et de mensonges", OdG, EDT1. Faites l'analyse de la forme négative. - Négation syntaxique, partielle, niveau de langue soutenu. , "L'homme esclave a multiplié ses forces, a eu besoin de recourir aux tiennes pour briser ses fers", OdG, EDT1 : transformez ces deux propositions en créant une principale suivie d'une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle. Expliquez les modifications apportées. - L'homme esclave a eu recours aux forces des femmes afin qu'il puisse briser ses chaînes. Introduction d'une relation de conséquence avec "afin que". , "Femmes, quand cesserez-vous d'être aveugles ?" OdG, EDT1. Faites l'analyse de la forme interrogative. - Interrogative directe, partielle, au langage soutenu., "Femmes, qu'y a-t-il de commun entre vous et nous ?", OdG, EDT1 : transformez cette phrase interrogative en une interrogative à la forme indirecte. - Les législateurs français demandent aux femmes ce qu'il y a de commun entre eux et elles., "Homme, es-tu capable d’être juste ?", OdG, EDT2 : faites l'analyse de la forme interrogative et transformez la en interrogative indirecte. Expliquez les modifications apportées. - Olympe de Gouges demande à chaque homme s'il est capable d'être juste. , "C’est une femme qui t’en fait la question", OdG, EDT2 : faites l'analyse grammaticale de la phrase. - "C’est une femme" = P. Principale / " qui t’en fait la question" : Proposition subordonnée relative ; le pronom relatif "qui" a pour antécédent "une femme", "tu ne lui ôteras pas du moins ce droit", OdG, EDT2 : étudiez la forme négative. - Négation syntaxique, totale, exprimée par les adverbes "ne...pas", langage soutenu , "rends-toi à l’évidence quand je t’en offre les moyens", OdG, EDT2 : étudiez les fonctions des deux propositions qui constituent ce fragment. - "rends-toi à l’évidence" = P. Principale ; "quand je t’en offre les moyens" : proposition subordonnée conjonctive de temps, expression de la simultanéité, "distingue, si tu peux, les sexes dans l’administration de la nature", OdG, EDT2 : faites l'analyse de la proposition "si tu peux" - "si tu peux" : proposition subordonnée conjonctive de condition insérée, sous forme d'incise, entre le verbe à l'impératif "distingue" et son COD "les sexes dans l'administration de la nature", "Permettez-moi, Messieurs, de vous adresser quelques mots.", Diderot, EDT3. Transformez cette phrase de façon à construire une proposition complétive à la place de l'infinitive. - Permettez, messieurs, que je vous adresse quelques mots. , "Je suis une fille malheureuse et pauvre, je n’ai pas le moyen de payer des avocats pour prendre ma défense", Diderot, EDT3. Transformez la 2ème proposition, coordonnée, en proposition subordonnée conjonctive circonstancielle, expliquez la modification apportée. - Je suis une fille malheureuse et pauvre si bien que je n’ai pas le moyen de payer des avocats pour prendre ma défense : ajout de la conjonction de subordination "si bien que" pour construire une proposition en fonction de complément circonstanciel de conséquence (elle est pauvre, donc elle n'a pas d'argent pour payer un avocat), "Je ne me flatte pas que dans la sentence que vous allez prononcer vous vous écartiez de la loi", Diderot, EDT3 : faites l'analyse de la forme négative dans cette phrase. - "Je ne me flatte pas" : négation syntaxique totale dans un langage courant. , "deux fois j’ai subi une punition publique et honteuse parce que je n’ai pas été en état de payer", Diderot, EDT3 : quelle est la fonction de la proposition "parce que je n’ai pas été en état de payer" ? - Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de cause introduite par la conjonction de subordination "parce que", "Je n’ai jamais offensé personne dans le lieu où je vis", Diderot, EDT3 : faites l'analyse la forme négative dans ce fragment de phrase. - "Je n’ai jamais offensé" : négation syntaxique partielle au langage courant ; "personne" : négation lexicale, "Cela peut être conforme à la loi, je ne le conteste point", Diderot, EDT3 : faites l'analyse de la négation dans ce fragment de phrase. - "je ne le conteste point" : négation syntaxique totale avec "ne ...point", au langage soutenu. , "Je n’ai rien dit, je racontais à Catherine.", Lagarce, EDT1 : faites l'analyse de la forme négative. - "Je n’ai rien dit" : négation syntaxique partielle construite avec "ne... rien", registre de langue courant. , "Où est-ce que tu vas, qu’est-ce que tu fais ?", Lagarce, EDT1 : faites l'analyse des formes interrogatives. - Deux interrogatives directes, partielles, au langage courant avec la forme interrogative "est-ce que", "je raconte, n’écoute pas", Lagarce, EDT1 : faites l'analyse de la négation - "n'écoute pas" : négation syntaxique, totale, au langage courant, Antoine" je ne vais nulle part, où veux-tu que j'aille ?", Lagarce, EDT1. Analysez la négative et l'interrogative et transformez la en interrogative indirecte - Négation syntaxique partielle au langage courant ; interrogative partielle au langage soutenu. Transformation : Antoine demande à Catherine où elle veux qu'il aille. , "Pas un dimanche où on ne sortait pas", Lagarce, EDT1 : faites l'analyse des formes négatives. - "pas un dimanche" : négation totale, phrase non verbale, langage familier + "on ne sortait pas" : Négation syntaxique totale au langage courant avec les adverbes ""ne ... pas" ; double négation. Sens : on sortait tous les dimanches, "ils se chamaillaient toujours, ça mettait leur père en colère", Lagarce, EDT1 : changez la deuxième proposition en une proposition conjonctive circonstancielle - ils se chamaillaient toujours tant et si bien que ça mettait leur père en colère : "tant et si bien que " introduit un rapport de conséquence, "Est-ce qu’on peut savoir comment tout disparaît ?" : faites l'analyse de l'interrogative. - Interrogation directe, partielle, au langage courant avec "est-ce que", "Vous voulez encore du café ?", Lagarce, EDT2 : faites l'analyse de la forme interrogative - "Vous voulez encore du café ?" : interrogation directe, totale, au langage familier (sans inversion du sujet : seul le ton de la voix et la présence du point d'interrogation indiquent la question)), "Tu vas le vouvoyer toute la vie, ils vont se vouvoyer toujours ?" Lagarce, EDT2 : analysez l'interrogative et transformez la en conservant son sens. Expliquez. - "ils vont se vouvoyer toujours ?" : interrogative directe au langage familier. Transformation : vont-ils se vouvoyer toujours ? (inversion du sujet), Antoine : "Comment est-ce que tu me parles ?", Lagarce, EDT2 : analysez l'interrogative et transformez la en interrogative indirecte - Interrogative directe, partielle, rhétorique, au langage courant (est-ce que) > Antoine demande à Suzanne comment elle lui parle (façon de sous-entendre qu'elle lui parle mal)., "Je ne te cause pas, je ne te parle pas, ce n’est pas à toi que je parle !", Lagarce, EDT2 : analysez les formes négatives - succession de 3 négations syntaxiques totales au langage courant, avec les adverbes de négation "ne ... pas". , "Vous avez insinué à ma pauvre Jocaste que j'étais l'assassin de Laïus... que j'avais tué le roi pour la rendre libre", Cocteau, EDT3 : transformez "pour la rendre libre" en proposition subordonnée circonstancielle - Vous avez insinué à ma pauvre Jocaste que j'étais l'assassin de Laïus... que j'avais tué le roi afin qu'elle soit libre > introduction d'une conjonction de subordination (afin que") et transformation de la proposition infinitive en proposition subordonnée circonstancielle de conséquence. , "ni à vous, ni à elle, ni à Créon, ni à personne je ne l'ai dit." Cocteau, EDT3: faites l'analyse des formes négatives - "ni à vous, ni à elle, ni à Créon, ni à personne je ne l'ai dit" : énumération de négations exclusives avec la conjonction de coordination "ni" ; négation syntaxique totale avec "à personne je ne l'ai dit" ; négation lexicale avec "personne", "Si vous voulez agir, ne tardez pas.", Cocteau, EDT3 : faites l'analyse grammaticale de la phrase. - "Si vous voulez agir" = proposition subordonnée conjonctive circonstancielle d'hypothèse / "ne tardez pas." = proposition principale à la forme négative, négation syntaxique totale, "Princes, que ne suis-je mort afin de ne pas vivre cette minute.", Cocteau, EDT3 : faites l'analyse de cette phrase et transformez la à la forme interrogative - Phrase déclarative avec une négation totale au langage soutenu. > Princes, pourquoi ne suis-je pas mort afin de ne pas vivre cette minute ?, "Il faut la dire. Je le veux.", Cocteau, EDT3 : transformez ces deux phrases en une principale accompagnée d'une subordonnée conjonctive circonstancielle, expliquez les modifications. - > Il faut la dire parce que le veux. "Il faut la dire" = P. principale / "parce que je le veux" = PSC circonstancielle de cause. , "J'ai tué celui qu'il ne fallait pas. J'ai épousé celle qu’il ne fallait pas. J'ai perpétué ce qu'il ne fallait pas.", Cocteau, EDT3 : analysez les formes négatives. - 3 phrases avec 3 négations syntaxiques totales au langage courant avec les adverbes de négation "ne...pas". , "cette Française vécut son enfance dans l’Yonne, [...] puis elle revint dans l’Yonne et s’y maria, deux fois", Colette, EDT1 : Transformez la proposition coordonnée "puis elle revient dans l'Yonne et s'y maria, deux fois", en une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle. - cette française vécut son enfance dans l'Yonne avant qu'elle y revienne et s'y marie, deux fois : introduction de la conjonction de subordination "avant que" : création d'une proposition subordonnée conjonctive circonstancielle de temps qui exprime l'antériorité , "Je ne saurais le dire.", Colette, EDT1 : faites l'analyse de la forme négative - Négation syntaxique totale au langage soutenu (adverbe "ne" seul, employé sans "pas"), "D’où, de qui lui furent remis sa rurale sensibilité, son goût fin de la province ?" Colette, EDT1 : faites l'analyse de la forme interrogative. - 2 Interrogations directes, partielles, au registre soutenu (inversion sujet et verbe), "notre voisin, enrhumé et doux, secoué d’éternuements en série, ne manquait pas de déguiser ses cerisiers en vieux chemineaux", Colette, EDT1 : faites l'analyse de la forme négative. - Négation syntaxique, totale, au langage courant avec l'usage des adverbes de négation "ne... pas"., "Il a neigé dans les plis de nos robes, j’ai des épaulettes blanches" : transformez les deux propositions indépendantes juxtaposées en une principale suivie d'une proposition subordonnée circonstancielle. Expliquez les modifications apportées. - Il a tant neigé dans les plis de nos robes que j’ai des épaulettes blanches > ajout de la conjonction de subordination "tant...que" qui exprime un rapport de conséquence entre la principale "Il a tant neigé dans les plis de nos robes" et la PSC circonstancielle de conséquence "j’ai des épaulettes blanches", "Nous avons gratté de nos dix pattes une neige intacte, friable, qui fuyait sous notre poids avec un crissement caressant de taffetas" : faites l'étude de la proposition "qui fuyait sous notre poids avec un crissement caressant de taffetas" - Proposition subordonnée relative ; le pronom relatif "qui" a pour antécédent le GN "neige intacte", "Assises maintenant devant la grille ardente, nous nous taisons toutes trois." Reliez les deux propositions afin de construire une PSC circonstancielle suivie d'une principale. - > Alors que nous sommes assises maintenant devant la grille ardente, nous nous taisons toutes trois. La conjonction de subordination "alors que" crée une PSC circonstancielle de temps qui exprime la simultanéité, "elle est pourrie, elle cède à poignées", Giono, EDT3 : modifiez la phrase de façon à construire un rapport cause conséquence. Vous devez donc créer une PSC circonstancielle de conséquence. - elle est si pourrie qu'elle cède à poignées : l'introduction de la conjonction de subordination "si... que" introduit un rapport d'intensité et de conséquence. , "Il fait un temps d'insectes affairés", Dorion, EDT1 : formulez la phrase interrogative à laquelle répondrait le premier vrs du poème d'Hélène Dorion et faites en l'analyse - Quel temps fait-il ? interrogative directe, partielle, au langage soutenu (inversion sujet verbe), "qui s'emmêlent sur la terre souillée", Dorion, EDT1 : faites l'étude de cette proposition - Proposition subordonnée relative ; l'antécédent du pronom relatif "qui" est "de chiffres et de lettres" , "avec l'avenir comme promesse / que le vent dévore aussitôt", Dorion, EDT1 : faites l'étude de la proposition "que le vent dévore aussitôt" - Proposition subordonnée relative ; le pronom "que" a pour antécédent le mot "promesse" , "elles sont des aiguilles qui percent la terre", Dorion, EDT2 : faites l'analyse de la proposition "qui percent la terre" - "qui percent la terre" est une proposition subordonnée relation ; le pronom qui a pour antécédent le nom "aiguilles" , Faites l'analyse de la négation dans la première strophe du poème "Le Pin des Landes" - "ne... que " : négation restrictive, transformez "pour lui dérober ses larmes de résine" au vers 5 du "Pin des Landes" en PSC circonstancielle de but - pour qu'il lui dérobe ses larmes de résine, "L"homme [...] Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine", Gautier, EDT3 : faites l'analyse de la forme négative - "ne... que" : négation restrictive, "Lorsqu'il est sans blessure, il garde son trésor", Gautier, EDT3 : faites l'analyse grammaticale de la phrase - "Lorsqu'il est sans blessure" : PSC circonstancielle de temps qui exprime la simultanéité ainsi que la condition ; "il garde son trésor" est la P Principale,
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Silenzio11
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